C’est à l’intitiative d’Henri Dausse, hospitalier à Lourdes, que les pugétois ont pu entendre le 16 mars dernier en l’église de Puget-Ville, le témoignage de Soeur Bernadette Moriau, 70ème miraculée officielle de Lourdes.
Que l’on soit plutôt réalignement des chakras ou homélies du Père Eloi (Actuel curé de Puget-Ville), un petit peu des deux ou rien de tout ça, il n’en était pas moins enrichissant d’écouter cette humble soeur raconter son histoire…
C’est le 11 février 2018 que la guérison de soeur Bernadette Moriau est déclarée “inexplicable en l’état actuel de nos connaissances scientifiques”. Elle est alors reconnue officiellement comme la 70ème miraculée de Lourdes.
Depuis 40 ans, Soeur Bernadette subit une douleur qui ronge sa colonne vertébrale. Elle a 27 ans quand les douleurs commencent, cela se finira par une atteinte des racines lombaires et sacrées et par une quasi-paralysie.
En 2008, son médecin lui conseille de retourner en pélerinage à Lourdes ; ce qu’elle avait déjà fait pour prier pour les – autres – malades.
Trois jours après ce pélerinage , elle est inondée d’une chaleur qui part du coeur et se répand partout. Une voix lui intime de se débarrasser de son corset, de son attelle de pied, de son neuro-stimulateur, de ses hautes doses de morphine et de s’extraire de la douleur qui lui rongeait la colonne vertébrale depuis 40 ans. Vont suivre des examens (plus de 300 toutes disciplines confondues), des entretiens avec des hommes d’Eglise avant que la guérison miraculeuse ne soit confirmée. (Extrait de la 4ème de couverture de son livre “Ma vie est un miracle” aux éditions J.-C. Lattès écrit avec l’aide de Jean-Marie Guénois, responsable au Figaro des questions religieuses et du Vatican).
Soeur Bernadette Moriau est venue témoigner de sa vie devenue miracle, les pugétois présents ont été touchés par sa sincérité et son chemin si particulier…
En préambule du témoignage de Soeur Bernadette Moriau, Henri Dausse (En photo, ci-dessus à droite) a choisi les mots de Sainte Bernadette Soubirous qui illustreront avec justesse cet après-midi de témoignage et d’échanges :
« Je ne suis pas chargée de vous le faire croire, je suis chargée de vous le dire »